Devenir juriste en droit d’assurance fait rêver un nombre toujours important de jeunes étudiants. Mais comment devenir juriste en assurance ? Répondant à cette question, le présent article propose les formations à suivre et les qualités requises. Le point.
Les formations à suivre pour devenir juriste en assurance
Le juriste en assurance aussi connu sous l’appellation de juriste en droit des assurances ou juriste contentieux est un professionnel de droit qui se spécialise dans l’assurance. Pour exercer ce métier, le niveau d’étude exigé peut varier en fonction de missions et tâches envisagées. En effet, si ces dernières consistent à élaborer de nouveaux produits d’assurances, le diplôme très recherché par les recruteurs est le DESS (Diplôme d’études supérieures spécialisées) en droit des assurances. Également, les étudiants ayant un DESS en droit fiscal ou un DEA (diplôme d’études approfondies) en droit des affaires pourront accéder à ce type de profession. Cette dernière permet aux jeunes diplômés de commencer leur carrière dans l’univers des assurances. En outre, un bac + 4 ou un bac + 5 est recommandé pour les autres tâches plus complexes. Il peut s’agir d’un règlement de contentieux ou d’une gestion de responsabilités.
Quelles sont les qualités requises dans ce type de métier ?
Être titulaire d’un tel ou tel diplôme en droit des assurances ne doit pas suffire pour pouvoir mener à bien ce type de métier. Quelques qualités et compétences sont également requises. Au premier abord, comme dans toute autre profession juridique, avoir un esprit de rigueur, d’analyse et de synthèse est essentiel. Puis, un bon juriste d’assurance doit faire preuve d’une qualité rédactionnelle. De plus, une connaissance pertinente en droit de français, droit civil comme droit pénal, est de la plus haute importance. En outre, les juristes en droit des assurances étant amenés à être en contact permanent avec leurs clients, ceux-ci doivent avoir un bon sens du relationnel. Également, être à l’écoute et être disponible sont de mise. Pour finir, une maîtrise parfaite de plusieurs langues étrangères est un atout, notamment si ce professionnel de droit se voit travailler au sein d’un cabinet de courtage à dimension internationale.